Finies les vacances! Place à la rentrée avec la Grande Ecole Numérique du Congo et son panel de formations aux métiers du numérique. Des formations basées à 90% sur la pratique vous permettront d’augmenter vos compétences en informatique et de déboucher sur des métiers comme Développeur Web, Développeur d’applications mobiles, Webmaster, Designer graphique, Administrateur Réseaux, Opérateur de saisie…
Il s’agit des modules de formation ci-après: · Développement Web (Développement et intégration Web, Web avancé, WordPress) · Design Graphic (Adobe Photoshop, Adobe Illustrator, Adobe Indesign) · Bureautique (Découverte et prise en main de l’outil informatique, Pack Office) · Cisco (IT Essentials V7.0, CCNA V7.0 Introduction aux réseaux, CCNA V7.0 Communication routage et sans fils essentiels, CCNA V7.0 Réseau d’entreprise sécurité et automatisation) · Passeport Numérique/Télétravail (Utilisation des fonctionnalités de base de l’ordinateur, navigation sur Internet, communication en utilisant les outils digitaux comme Zoom, MS Teams, Google Meet) · Développement d’applications mobiles (Flutter)
Les Formations sont ouvertes à tous (#élèves, nouveaux #bacheliers, #professionnels, #sociétés …) pas besoin d’un niveau minimum requis pour y accéder.
Pour plus d’informations contactez-nous au 06 623 52 01 ou dans nos locaux sis Allée des manguiers immeuble des générations futures, Centre-Ville, Brazzaville.
(Agence Ecofin) – Les dirigeants en Afrique doivent plus investir dans sa transformation TIC pour éliminer la fracture numérique et éradiquer la pauvreté. Ce message leur a été transmis par différentes agences onusiennes le 31 août, lors de la session virtuelle du Sommet mondial africain sur la société de l’information.
A travers la session virtuelle du Sommet mondial africain sur la société de l’information (SMSI) qui s’est tenu le 31 août 2020 sur le thème : « Covid-19 : un catalyseur pour atteindre les résultats du SMSI », les Nations unies ont interpellé les dirigeants africains sur l’urgence d’accélérer la transformation numérique du continent et d’en faire une priorité absolue.
Lors de la rencontre internationale, Andrew Rugege, le directeur régional de l’Union internationale des télécommunications (UIT) pour l’Afrique, a déclaré que la pandémie de Covid-19 en cours démontre le caractère pratique d’une société de l’information.
Jean Paul Adam, le directeur de la division de la technologie, du changement climatique et de la gestion des ressources naturelles auprès de la Commission économique des Nations unies pour l’Afrique (CEA), a souligné que « les TIC peuvent jouer un rôle crucial dans nos vies et peuvent grandement contribuer à la mise en œuvre des ODD. Elles apportent de nouvelles solutions et là où les infrastructures, les compétences et les services appropriés sont disponibles, elles peuvent être incroyablement puissantes pour transformer l’éducation, les soins de santé ou la façon dont nous faisons des affaires ».
Il a par ailleurs indiqué que « notre principal défi reste la fracture numérique qui est aujourd’hui généralisée en Afrique avec un taux de connectivité très faible. Nous ne pourrons jamais atteindre l’objectif de 2030 si nous ne résolvons pas d’urgence la question de la connectivité à travers le continent ».
Les participants à la session virtuelle ont convenu, au regard des enjeux de développement du continent, qu’il est essentiel d’exploiter les technologies numériques et l’innovation pour transformer les sociétés et les économies africaines, non seulement pour promouvoir l’intégration de l’Afrique, mais aussi pour générer une croissance économique inclusive, stimuler la création d’emplois, effacer la fracture numérique croissante et éradiquer la pauvreté.
Au conseil des ministres du 18 août 2020, une des affaires inscrites à l’ordre du jour était : le projet de décret portant affectation au Ministère de l’Enseignement technique et professionnel, de la Formation qualifiante et de l’Emploi, d’un terrain non bâti situé au quartier Mbama, La Corniche, arrondissement 2 Bacongo, département de Brazzaville.
En effet le Ministère de l’Enseignement Technique et professionnel, de la Formation qualifiante et de l’Emploi avait sollicité l’affectation d’un terrain non bâti situé au quartier Mbama, La Corniche, parcelle n°28 (ex 268 270), bloc 124, de la section G du plan cadastral de la ville de Brazzaville, d’une superficie de 1754,12 m2, en vue de la construction d’un campus numérique, dénommé la Grande Ecole Numérique du Congo.
La Grande Ecole Numérique est le fruit d’un partenariat entre l’Etat et des organismes tant nationaux qu’étrangers de formation dans le secteur du numérique. A ce jour, elle a déjà formé 350 intégrateurs web.
Les grandes sociétés multinationales du numérique, communément appelées les «GAFA», se proposent ainsi de recruter de jeunes développeurs congolais, à la condition que notre pays dispose d’un campus numérique au niveau des standards en la matière.
L’affectation du terrain en objet obéit donc à la nécessité de donner à cette Grande Ecole numérique toutes les chances de remplir cet objectif majeur, en permettant d’y construire les infrastructures nécessaires.
Après que les Membres du Conseil des Ministres aient pris bonne note de l’importance de ce dossier, Son Excellence, Monsieur Denis SASSOU N’GUESSO, Président de la République, Chef de l’Etat, a rappelé le souci constant de l’Etat de voir cet espace à grand potentiel situé à la Corniche de Brazzaville être aménagé de manière à ouvrir notre capitale sur le fleuve, alors que les constructions ont longtemps, à cet endroit, tourné le dos à celui-ci.
Après examen et discussion, le Conseil des Ministres a adopté le projet de décret portant affectation au Ministère de l’Enseignement technique et professionnel, de la Formation qualifiante et de l’Emploi, d’un terrain non bâti situé au quartier Mbama, La Corniche, arrondissement 2 Bacongo, département de Brazzaville
Le club Congo France numérique se donne pour mission de contribuer au développement de l’économie numérique au Congo. C’est l’un des points évoqués par cette plateforme à l’occasion du lancement officiel de ses activités.
Né en 2019 en république du Congo, le club Congo France numérique est en réalité un espace de communication digitale réunissant 32 entreprises numériques dont 16 congolaises et 16 autres françaises.
En effet au cours d’une conférence de presse organisée pour le lancement officiel de la dite plateforme, la présidente de ce club, Gouadi Koussiama a défini l’ensemble du programmes de leurs activités. Elle a également évoqué l’accompagnement des porteurs de projets ayant trait au numérique. À l’instar des startups pourvu que le projet soit innovant.
Elle précise par ailleurs que la mission de cette plateforme n’est pas de financer à fonds propres les projets y relatifs mais d’orienter et de faciliter les jeunes en vue d’une réussite dans le domaine du numérique.
Sur la question de savoir si le club Congo France numérique travaille ou pas avec la presse en ligne, un secteur qui ne cesse d’émerger, Gouadi Koussiama répond favorablement. Mais pose un certain nombre de critères à remplir, notamment avoir un siège pour ne citer que cela. L’occasion a parmi à l’assistance de suivre en direct les interventions des partenaires depuis la France, sur les avantages qu’offrent les métiers du numérique dans monde en mouvement.
La création du club Congo France numérique intègre le plan national du développement du numérique 2018-2022 qui met l’accent sur la promotion de projets à forte valeur ajoutée et la modernisation des services de l’État au profit de l’ensemble des usagers.
Au cours d’une conférence de presse tenue, ce 13 août 2020 à Brazzaville, le Club Congo-France Numérique a été officiellement lancé et présenté par sa présidente Gouadi-B-Koussiama , en présence de l’ambassadeur de France au Congo, du responsable de la BDEAC, des représentants des institutions du secteur privé. Cette cérémonie de lancement a permis au Club Congo-France Numérique (CCFN) de dégager son ambition qui consiste à se positionner comme acteur de référence sur les besoins du Gouvernement congolais dans le cadre de la stratégie nationale de développement de l’écosystème numérique.
Devant un parterre de journalistes nationaux, internationaux et des invités assistés par visio-conférence, la présidente du CCFN a brièvement présenté cette plateforme associative qui regroupe des acteurs français et congolais exerçant directement ou indirectement dans le domaine du numérique et vise à répondre aux attentes des congolais en matière de contenus, des services et d’usages. Pour Mme GOUADI-B-KOUSSIAMA, «Cette plateforme a l’ambition de se positionner comme un organe consultatif de l’offre française et congolaise en matière du numérique ».
Promouvoir et renforcer les liens économiques et commerciales entre les membres; contribuer au développement du secteur numérique en République du Congo dans un esprit de consolidation des compétences mutuelles, dans le cadre d’appels d’offres publiés par les institutions nationales et internationales; contribuer aux réflexions sur les questions du numérique et jouer un rôle consultatif auprès du Gouvernement et des institutions; offrir aux porteurs de projets innovants un espace d’information, d’échange et d’accompagnement, grâce à un écosystème en développement; promouvoir et organiser des conférences, expositions et webinaires sur les sujets d’intérêts communs, tels sont les objectifs que se sont assignés les membres du CCFN, a-t-elle rappelé dans son mot de circonstance.
Ainsi, depuis sa création en 2019, le CCFN a organisé et pris part à plusieurs activités notamment une mission commerciale exploratoire à Paris, la présentation de ses ambitions au Ministre des postes, des télécommunications et de l’économie numérique du Congo, la participation au Forum «Investir en Afrique à Brazzaville » , la présentation du Club à la Banque Mondiale, la mise en place des structures de fonctionnement du CCFN à Brazzaville ainsi que la tenue de son Assemblée générale constitutive en mai 2020.
«Les différents accords qui ont été conclus s’inscrivent dans l’optique d’accompagner les jeunes entreprises ou start-up congolaises afin de mettre en place les dispositifs de formation pour l’écosystème numérique du Congo », a laissé entendre le président de Pratic et membre dudit Club M.Luc MISSIDIMBAZI.
Répondant à la préoccupation relative aux perspectives du CCFN, Mme Catherine DUMARCHÉ , Conseillère économique de l’Ambassade de France au Congo, membre institutionnel du club, a indiqué que le challenge et de faire en sorte que les entreprises des deux pays (France et Congo), travaillent et réunissent leurs expériences ensemble. «J’ai bon espoir que le Congo tirera profit des opportunités du numérique qui sont mises à disposition à travers cette plate-forme », a-t-elle précisé.
Trois conditions sont nécessaires pour faire partie du CCFN à savoir : être une personne morale soit une entreprise ou association, exercer dans le secteur du numérique et d’avoir son siège social en France ou au Congo ou plutôt mener ses activités dans ces 2 pays.
Né de la volonté commune d’entreprises congolaises et françaises, le Club Congo-France Numérique se veut être un acteur majeur pour développer l’écosystème numérique congolais. Crée le 15 avril 2019, le CCFN compte à ce jour 32 entreprises dont 16 au Congo et 16 en France.
Pour les vacances, la GENC propose une offre spéciale de formations dénommée « Vacances numériques ». D’une durée d’un (01) mois, cette offre concerne des modules de formations ci-après :
Initiation à la programmation pour enfant
Bureautique (Microsoft windows, word, Excel et internet)
Community Management et Web Marketing (Traitement des images sur Photoshop, Communication sur les réseausx sociaux : Facebook, Twitter, …)
Création, Administration des sites web (Avec WordPress)
Pour les vacances, la GENC propose une offre spéciale de formations dénommée « Vacances numériques ». D’une durée de 8 semaines, cette offre concerne des modules de formations ci-après :
Community Managment (Traitement des images sur Photoshop, Communication sur les réseausx sociaux : Facebook, Twitter, …)
Administration des sites web (Avec WordPress)
Bureautique (Microsoft windows, word, Excel et internet)
Former gratuitement au moins 3 000 développeurs Web entre 2017 et 2018 ; favoriser l’insertion professionnelle des jeunes congolais grâce au numérique, ce sont entre autres ambitions affichées par la Grande école numérique du Congo (GENC) avec l’appui du ministère congolais en charge de la formation qualifiante. Née il y a à peine six mois, la GENC, qui dispose de plus d’une quarantaine de formateurs, attire de plus en plus des apprenants dans un pays où le taux d’accès au haut débit reste un des plus bas en Afrique.
Tenue du 17 au 18 Juillet 2017 au Radisson Blu’ à Brazzaville, sous le haut patronage de son Excellence Monsieur le Premier Ministre Clément MOUAMBA, la première édition des Assises Nationales du Tourisme au Congo a non seulement constitué un moment d’échanges et de discussions entre les principaux acteurs du tourisme, secteur public, secteur privé, et société civile, mais aussi une occasion pour la promotion des richesses touristiques de différentes régions du Congo.
Représentée par son Directeur Général, Mr MASIA Vuvu , lors de ces Assises, la Grande Ecole Numérique du Congo a reçu des mains de Madame Arlette SOUDAN-NONAULT, Ministre du Tourisme et de l’Environnement et du Dr Taleb RIFAI Secrétaire Général de l’Organisation Mondiale du Tourisme (OMT), un certificat d’honneur pour les efforts accomplis dans le cadre de la promotion du tourisme durable en république du Congo.
En effet la grande école numérique a travaillé à la création du nouveau site de l’office national du tourisme du Congo, et à la refonte du site du ministère du tourisme avec la mise en place de l’onglet des assises nationales et toutes ses fonctionnalités.
La GENC a aussi conçu le mail d’invitation qui a été envoyé aux différents contacts du ministère en amont du lancement de la manifestation
Cette reconnaissance témoignée par madame la ministre Arlette SOUDAN-NONAULT encourage encore la GENC à continuer à améliorer ses capacités, son professionnalisme, et ses services.